jueves, 25 de marzo de 2010

difusión plurilingüe

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(à des amis et connus francophones)


Aujourd’hui, le 24 mars 2010, c’est férié en Argentine. C’est ne pas possible décrire en gros ca qu’il a passé entre 1976 et 1983 dans le pays. L’histoire est un déclenchement complexe. Un désordre des événements. Son narration implique toujours un débat. Il réveille, aussi, le doleur persistant des générations qui vivent encore. Mais de toutes manières, de temps en temps il faut l’annoncier comme la provocation des souvenirs et du présent. Et la mémoire, c’est l’expérience personnelle du passé et du présent. En gros, je demande un appel à cette mémoire. Pas seulement à l’histoire d’un pays comme l’Argentine. J’appelle à la mémoire d’un cas qui exprime (et saigne) la réalité traversé par tout le continent depuis la révolution cubaine jusqu’ai la chute du mur. La réalité, on m’a dit il y a longtemps, c’est l’expression de l’histoire qu’on a plus proche. Et cette histoire n’est pas agréable. Un film qu’on a déjà vu (ou bien qu’on ne connaît pas) mais qu’il faut revoir. Je demande seulement 10 minutes de lecture. Un court-métrage.

Il y a 34 ans, le 24 mars 1976, les forces de sécurité et l’armée argentine ont déplacé du pouvoir –pour cinquième fois le XX siècle- le gouvernement élu par suffrage universel. Ils ont installé une junte des hautes commandantes au pouvoir exécutif et ils ont garanti la fermeture du parlement et l’interdiction des activités des partis politiques et des organisations syndicales. Dans un contexte d’agitation social (qu’avait culminé au fin des années 60 en tout l’Amérique Latine), les militaires ont profundi la répression clandestine contre travailleurs et étudiants jusqu’au le plus sanglantes limites. Il y a 34 ans, le plus obscure période de l’histoire de l’Argentine a commencé.

Le gouvernement militaire de 1976-1983 a été soutenu par le patronat étranger et les États-Unis. Les militaires ont intégré l’Argentine à l’opération Condor (stratégie continental de suppression des droits civiles et des activités de gauche) et ils ont plongé la société dans une répression intégrale. L’articulation de son action politique a eu trois axes: la libération abrupte de l’économie, l’application du terrorisme généralisé et la militarisation des institutions.
Sûr le changement économique, les militaires ont entrepris une reforme du système financière et la diminution de la participation de l’État dans le marché. Mais la responsabilité du gouvernement de garantir un ordre propice pour l’inversion étrangère (sans syndicats ; sans grèves) a été croissante. On dit que la participation de l’État comment bénéficière a décru au contraire de son rôle bienfaisant. La même chose a passé avec les dépenses publiques. Le gouvernement a encouragé l’inversion de capital étranger dans le système financière argentin avec la garanti de maintenir des conditions sans risques. Ces bénéficies (taxation accordé de principe de l’inversion dans une économie inflationniste, fixation d’intérêt en dollars) ont été financé moyennant l’endettement de l’État.
Les militaires, en l’Amérique Latine, ils ont toujours détachés pour être très mauvaises économistes. L’endettement est la caractérisation d’une économie fragile. Après la fête initiale, il devient la fugue du capital. La libération des importations a défragmenté l’industrie entre lésés et grandes survivantes. Le changement et les lois appliqués ont décimé les salaires et les situations de travail. Le coup d’État a fini pour plonger l’Argentine dans le plus notoire retard technologique et culturel. Et la pauvreté sans commune mesure dans notre histoire arriva.
Or, pour condamner un peuple à la misère, il faut supprimer ses possibilités de protestation. Faire taire la société et semer le peur à l’organisation. En Argentine, pour condamner un peuple caractérisé par la radicalisation politique, sa richesse culturelle et ses organisations grémials, il faut ne pas reconnaître son citoyenneté et sa condition humaine. L’État militarisé a été levé sûr l’enlèvement, la torture et l’assassinat des opposants.
Après le génocide en Guatemala, l’Argentine a le privilège atroce d’être le pays avec plus de disparus en l’Amérique. La disparition impliquait la détention illégale d’un civil par les forces de sécurité, services secrets ou escadrons de la morte de l’État. Les victimes étaient emprisonnées dans centres de détentions clandestines et « interrogés » pendant sessions de torture. La torture était l’application de décharges électriques dans le corps entier (paupières, génitaux), la violation aux femmes et la pression psychologique. Il n’a pas manqué des centres organisés dans les usines des entreprises multinationales. Non plus le support des grands médias et patronats argentins et des fragments de la population civile.

Les 30000 victimes disparus par la dictature ont été des ouvriers, des étudiants universitaires, des étudiants des lycées, des activistes politiques, des infortunés sans participation politique, des intellectuels, des familles d’activistes et des refugiées politiques d’autres pays. Deux citoyennes françaises on été disparu par l’armée. Les disparus ont été des hommes, des adolescents, des anciens, des femmes, des femmes enceintes qui accouchaient dans les cachots et des bébés qui étaient adoptés par familles des militaires après la mort des ses parents. Ses corps ont été cachés, lancés à la mer d’avions militaires, enterrés dans fosses communes.
Des 30000 disparus, il n’y a pas des registres officiels pour démontrer les conditions de ces types de détentions et assassinats. Il reste seulement des ossuaires et de la mémoire. Et l’effort continu des familles qui persistent dans la recherche des fils nés aux centres de détentions. Des familles qui cherchent l’élucidation absolue de son histoire.

Le régime militaire a déchu après une tentative pathétique d’affronter une guerre contre l’impérialisme anglais. Après 34 ans, la plus part des responsables de la violation des droits humaines pendant la dictature sont encore libres. Aujourd’hui, c’est férié en Argentine. Une congrégation de plus de 30000 personnes a pris le centre historique de Buenos Aires pour réclamer l’accusation formel de tous ces responsables. Dans le pays entier il y eu des manifestations qui ont ressuscité le légat d’une génération décimé. Le coût des rêves et des luttes, dans l’histoire, peut être le triomphe ou l’échec. Mais c’est toujours le destin humain.
Moi, j’appelle à la mémoire ou l’attention de ceux qui ne connaissent pas cette passé. C’est bien se rappeler pour n’obvier pas le présent. Demain on devra se rappeler aussi de Soudan, de Palestine, du rôle qui a chaque acteur du film. Ici, il y a beaucoup des gens qui croient encore que l’oubli n’existe pas.

Je m’excuse pour mon français et je vous remercie pour l’attention,

F. Derrey
Buenos Aires, 24-03-2010

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